À 18 ans, Kimi Antonelli jongle entre ses débuts en Formule 1 et ses examens – et invite toute sa classe à son premier Grand Prix à domicile
Un début en Formule 1 avec Mercedes, des examens dans une école technique, et un Grand Prix à domicile chargé d’émotion : la vie va à toute vitesse pour Andrea Kimi Antonelli, qui dispute ce week-end son tout premier Grand Prix sur le sol italien. Et il ne sera pas seul – le jeune pilote de Bologne a invité 25 camarades de classe et deux enseignants à Imola pour leur faire découvrir les coulisses de la F1.
Pilote de F1 et lycéen à la fois
Antonelli est encore sur les bancs de l’école – non pas par obligation, mais à la demande de sa mère. Il étudie à l’Institut Technique Salvemini de Casalecchio di Reno, à Bologne, à quelques kilomètres seulement de l’Autodromo Enzo e Dino Ferrari, où il deviendra ce week-end le premier Italien à courir devant son public depuis Antonio Giovinazzi en 2021.
« Je pense que c’était un bon début, » a déclaré Antonelli à propos de ses débuts en F1. « On a connu des hauts et des bas, mais on a progressé chaque week-end. »
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Des week-ends intenses – et des semaines encore plus
Le jeune pilote Mercedes confie avoir été surpris par l’exigence de la vie en Formule 1 – pas seulement sur la piste, mais aussi en dehors.
« Ce qui m’a le plus surpris, c’est l’intensité des week-ends et de tout ce qui les entoure, » explique-t-il à F1 Technical. « Je suis à l’usine, je travaille sur les données, je participe aux activités marketing, et je suis constamment en déplacement – mais je ne me plains pas. C’est une expérience très positive. »
Pas de temps pour s’échauffer
Après six Grands Prix dans l’élite, Antonelli a tiré une leçon importante : il faut être prêt dès la première seconde.
« Il faut être au point dès le début du week-end. Si tu y vas trop tranquillement, tu prends du retard, » dit-il, ajoutant qu’il voit chaque week-end de course comme une occasion d’apprendre.
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« Je ne tiens rien pour acquis. J’essaie d’être totalement présent et prêt dès le départ. Sinon, j’ai trop de choses à rattraper. »
Avec le soutien de ses camarades, du public italien et d’une usine toute proche, le Grand Prix d’Émilie-Romagne ne sera pas une course comme les autres pour Antonelli – mais bien une étape marquante dans une aventure en Formule 1 qui ne fait que commencer.
Source : F1 Technical
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