Les salaires des clubs de la Saudi Pro League pour la saison 2025 2026 révélés
La Saudi Pro League continue de bousculer l’ordre établi du football mondial. Avec des investissements massifs, des recrues de renommée internationale et une volonté affirmée de s’imposer sur la scène globale, le championnat d’Arabie saoudite attire tous les regards. La saison 2025 2026 marque un nouveau cap, avec des chiffres impressionnants dévoilant les masses salariales des plus grands clubs du pays.
Voici le classement des six principales formations, présenté de la plus modeste à la plus dépensière.
6. Al-Shabab – €46,200,000
Al-Shabab est le club qui affiche la masse salariale la plus modeste parmi les grandes équipes de la ligue. Malgré cela, le budget annuel dépasse les 46 millions d’euros, ce qui reste un chiffre significatif. L’attaque représente la priorité avec près de 22,8 millions d’euros alloués aux joueurs offensifs. Le milieu de terrain reçoit environ 15,7 millions, tandis que la défense perçoit un peu plus de 5,6 millions. La rémunération des gardiens s’élève à 2 millions. Cette répartition indique une stratégie tournée vers l’efficacité offensive, tout en maintenant une structure budgétaire prudente. Al-Shabab privilégie la stabilité et un développement progressif dans un championnat devenu ultra compétitif.
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5. Al-Ettifaq – €55,950,000
Al-Ettifaq poursuit son ascension avec un budget de près de 56 millions d’euros pour la saison. Ce club met l’accent sur son entrejeu, avec plus de 27 millions d’euros consacrés aux milieux de terrain. La défense absorbe 14,5 millions et l’attaque environ 9,7 millions. Les gardiens de but perçoivent 4,3 millions. Cette répartition traduit une volonté de construire une équipe solide dans l’axe du terrain. Al-Ettifaq mise sur une formation équilibrée, structurée autour d’un milieu puissant et stable, sans sacrifier ses ambitions sportives.
4. Al-Ittihad – €153,580,000
Le passage à Al-Ittihad marque un saut budgétaire majeur. Avec plus de 153 millions d’euros dépensés en salaires, le club entre clairement dans la cour des très grands. La ligne offensive est particulièrement mise à l’honneur avec près de 88,9 millions d’euros consacrés aux attaquants. Le milieu de terrain suit avec 44 millions, alors que la défense est rémunérée à hauteur de 13,3 millions. Les gardiens reçoivent un peu plus de 7,4 millions. Ce choix budgétaire témoigne d’une stratégie clairement offensive, axée sur le spectacle et l’efficacité devant le but. Al-Ittihad souhaite imposer son style à travers la puissance de feu de ses joueurs vedettes.
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3. Al-Ahli – €168,880,000
Avec un budget qui frôle les 169 millions d’euros, Al-Ahli confirme sa place parmi les plus gros investisseurs du championnat. L’attaque reçoit la part la plus importante avec 104,3 millions d’euros, ce qui en fait l’une des lignes offensives les plus chères au monde. Le club investit également 24,4 millions au milieu de terrain et 28,3 millions pour renforcer la défense. Les gardiens, eux, touchent environ 11,9 millions. L’équilibre général de l’effectif n’est pas oublié, mais l’orientation offensive reste dominante. Al-Ahli veut s’imposer autant par son efficacité sur le terrain que par l’aura de ses recrues.
2. Al Hilal – €193,130,000
Club emblématique du football saoudien, Al Hilal aligne un budget salarial impressionnant de plus de 193 millions d’euros. Ce qui frappe, c’est la répartition très homogène de ces dépenses. Le milieu de terrain domine légèrement avec 45 millions d’euros, mais l’attaque suit de près avec 58,5 millions. Fait notable, la défense bénéficie du plus gros investissement de toutes les lignes avec 77,8 millions d’euros. Les gardiens, eux, sont rémunérés à hauteur de 11,8 millions. Al Hilal mise sur une construction complète et robuste, avec une attention particulière à la solidité défensive. C’est un projet ambitieux et structuré, digne d’un club habitué aux compétitions continentales.
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1. Al Nassr – €361,170,000
Le géant incontesté de la Saudi Pro League est Al Nassr. Avec plus de 361 millions d’euros de masse salariale, le club surclasse tous ses concurrents. Rien que la ligne offensive représente près de 299 millions d’euros, ce qui dépasse à elle seule le budget global de nombreuses équipes européennes. Le milieu et la défense reçoivent chacun 27 millions, et les gardiens environ 6,8 millions. La stratégie du club est limpide : miser sur une attaque de classe mondiale pour dominer le championnat et attirer l’attention internationale. Al Nassr s’affirme comme une force économique et sportive difficile à égaler, même au niveau européen.
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