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Die bestbezahlten Positionen im französischen Rugby – vom niedrigsten zum höchsten

Le Top 14 français abrite certaines des plus grandes stars du rugby mondial… et les plus gros salaires. Mais quels postes sont réellement les mieux rémunérés ? Selon un récent rapport, la hiérarchie salariale dans l’élite du rugby hexagonal réserve quelques surprises. Si beaucoup imaginent que les ouvreurs et les arrières dominent les fiches de paie, ce sont en réalité les avants – et en particulier les colosses du cinq de devant – qui touchent les plus gros montants. Voici un aperçu complet des salaires annuels moyens, du moins au plus élevé.

Talonneur – 200 000 €

Hooker Rugby,
Natursports / Shutterstock.com

Dans le Top 14, les talonneurs figurent parmi les joueurs les moins bien rémunérés, avec un salaire annuel moyen d’environ 200 000 €. Pourtant, ils jouent un rôle central dans la mêlée et les lancers en touche. Ce poste exige une combinaison rare de puissance, de technique et de précision, mais il reste sous-évalué sur le marché par rapport aux profils plus physiques.

Pilier gauche – 200 000 €

Andrew Porter
Victor Velter / Shutterstock.com

Les piliers gauches perçoivent une rémunération similaire à celle des talonneurs, autour de 200 000 € par saison. Très sollicités physiquement, ils assurent la stabilité de la mêlée. Cependant, malgré leur importance tactique, ils ne font pas partie des postes vedettes au niveau des salaires.

Ailier (profil moyen) – 200 000 €

cheslin kolbe
Victor Velter / Shutterstock.com

Tous les ailiers ne touchent pas des salaires mirobolants. Certains, en particulier ceux qui ne sont pas internationaux, émargent à environ 200 000 € par an. Bien qu’ils apportent de la vitesse et des essais, le marché ne récompense que les véritables détonateurs.

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Troisième ligne aile – 215 000 €

Richie McCaw
By Jeanfrancois Beausejour - Published on Flickr: https://www.flickr.com/photos/jeanfrancoisbeausejour/7310311680/in/album-72157629988276374/, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=42885871eden park auckland

Les flankers gagnent en moyenne 215 000 € par saison. Reconnus pour leur activité défensive et leur impact dans les rucks, ils jouent un rôle crucial. Pourtant, leur salaire suggère qu’ils sont considérés davantage comme des soutiens que comme des stars.

Ailier (top niveau) – 225 000 €

Damian Penaud
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Les ailiers les plus performants peuvent atteindre 225 000 € par an. Ceux qui savent faire la différence balle en main et conclure les actions sont mieux récompensés, ce qui reflète une tendance récente à valoriser la vitesse et l’efficacité.

Demi de mêlée – 225 000 €

Antoine dupont
Victor Velter / Shutterstock.com

Malgré leur rôle essentiel dans l’organisation du jeu, les demis de mêlée gagnent en moyenne 225 000 €. Si des exceptions comme Antoine Dupont touchent bien plus, le salaire moyen reste modeste pour un poste aussi influent.

Pilier droit – 235 000 €

Tadhg Furlong
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Les piliers droits sont un peu mieux valorisés que leurs homologues à gauche, avec un salaire d’environ 235 000 €. Leur rôle dans la solidité de la mêlée est crucial, et leur rareté pousse les clubs à offrir de meilleurs contrats.

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Deuxième ligne (côté gauche) – 250 000 €

Eben Etzebeth
Victor Velter / Shutterstock.com

Les locks côté loosehead touchent environ 250 000 € par saison. Sans atteindre les sommets du classement, leur gabarit et leur puissance leur permettent tout de même d’obtenir des contrats confortables.

Centre – 255 000 €

Damian de Allende
Victor Velter / Shutterstock.com

Les centres se classent à égalité avec les ouvreurs, avec un salaire moyen de 255 000 €. Polyvalents, puissants, capables de défendre et d’attaquer, ils occupent un rôle tactique central, notamment dans le rugby français.

Ouvreur – 255 000 €

handre pollard
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Les numéros 10, souvent considérés comme les cerveaux de l’équipe, gagnent eux aussi 255 000 € en moyenne. Leur capacité à gérer le tempo, à distribuer et à prendre des décisions stratégiques en fait des joueurs très recherchés.

Troisième ligne centre – 265 000 €

Gregory Alldritt
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Les numéros 8 arrivent en deuxième position avec 265 000 € par saison. Ce sont des joueurs complets, alliant puissance, technique et polyvalence. Ils doivent autant porter le ballon qu’assurer les tâches de l’ombre.

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Deuxième ligne (côté droit) – 275 000 €

Eben Etzebeth
Victor Velter / Shutterstock.com

Au sommet du classement, on retrouve les tighthead locks, avec un salaire moyen de 275 000 €. Leur combinaison de taille, de mobilité et de technicité en fait des profils rares et ultra-recherchés. Les clubs n’hésitent pas à investir massivement pour s’attacher les services de ces géants.

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